L’automne est bien là, avec ses variations de température. Tantôt la pluie, tantôt la chaleur, c’est le moment où l’on est indécise le matin et on ne sait jamais comment s’habiller, alors pour savoir comment se maquiller, c’est une autre histoire.
J’ai mes périodes de nude mais depuis bientôt 2 semaines, avec mon bronzage qui commence à s’estomper, je suis plutôt dans des tons plus foncés.
Et ce rouge Allure Ink de Chanel tombe à pic ! Je l’avais mis de côté pour l’été et je le retrouve pour mon grand plus plaisir avec l’automne.
Le Rouge Allure Ink en quelques mots
Une texture seconde peau grâce à une formule fine et fondante composée d’une cire spécifique. Un rouge à lèvres liquide mat. Une encre intense et lumineuse. Avec ses pigments fins et denses, la texture fusionne en un instant avec les lèvres, jusqu’à se faire oublier, pour un résultat maquillage longue tenue . L’audace d’une allure qui s’impose.
La couleur est vraiment belle, c’est la teinte Choquant, un rouge bien intense qui donne tout de suite du caractère à mes lèvres, style femme fatale.
Pour l’application, comme à mon habitude, j’utilise une base transparente pour que mon rouge tienne encore mieux. L’embout mousse est assez pratique, même s’il est un peu gros et manque de précision pour les commissures des lèvres. J’applique deux couches pour un avoir un rendu parfaitement opaque. Il est extrêmement confortable et on ne le sent même pas sur les lèvres.
Au niveau de sa composition, il contient :
– de la cire qui assure la douceur, la souplesse et le velouté
– de l’huile de jojoba qui apporte confort, hydratation et protection
– des ingrédients actifs comme le bois de sappan, le thé vert matcha, l’huile d’amande douce ainsi qu’un dérivé de vitamine E.
Et la tenue dans tout cela ?
Impeccable. Il tient relativement bien (quasiment 12h) et j’ai pu faire le test surtout après un burger du Tommy’s (pour les toulousaines, vous savez que c’est presque mission impossible). Pour le démaquillage, il est très bien parti avec l’eau micellaire alors que je craignais devoir m’acharner.